... chaque recoin de l'appartement baigne dans une moiteur délicate ... je navigue et puise toute la fraicheur de quelques mots empruntés à la blogosphère ...
Et regarder par
la fenêtre, sous
le ciel gris.
Et s'étonner de
l'ébrouement de
quelques feuilles.
Qui frissonnent
à cause des
gouttes.
Non : qui
sursautent.
Après tant d'âpreté,
de cet été prématuré
j'hume les senteurs
de la terre mouillée
le parfum d'eau perlée
sur les feuilles échauffées
je ne cite pas les auteurs, j'espère qu'ils se reliront avec plaisir